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Rencontre autour de Jack London et Les vagabonds du rail

Jeudi 29 juin à 19h30 à la Maison des Passages – 44 rue des Saint-Georges Lyon 5ième

A la faveur de la parution d’une nouvelle édition de Les vagabonds du rail de Jack London, l’Esperluette s’associe à la Maison des Passages pour vous proposer une rencontre autour de ce livre récemment paru aux éditions de la Lanterne.

Le texte repose sur une traduction révisée de Louis Postif et est suivi de « Comment je suis devenu socialiste », un article traduit par Juliette Lanos. L’ensemble est accompagné d’un cahier de photographies de 25 pages sur les hobos et le mouvement des sans-emploi de 1894.

L’éditrice Ludivine Péchoux viendra discuter autour de cet ouvrage, de la vie de Jack London et de « son écriture engagée et vécue ». La discussion sera co-animée par Nadine Chopin, présidente de la Maison des Passages et de Xavier Robert, libraire.

La rencontre se tiendra à la Maison des Passages, 44 Rue Saint-Georges, 69005 Lyon. Entrée libre.

https://www.editionsdelalanterne.com/product-page/les-vagabonds-du-rail-jack-london

Résumé : En 1894, les États-Unis sont touchés par une grave crise économique. Des milliers de vagabonds vont d’une ville à l’autre, le plus souvent en prenant des trains de marchandises en marche. Alors chômeur, un peu casse-cou, Jack London (1876-1916) se lance lui aussi sur la route, surtout par envie d’aventures. Il rejoint un temps la marche des sans-emploi qui se rend à Washington pour le 1er mai ; il endure la prison, le froid, la faim. Malgré la dureté du voyage, rien n’entame sa soif de liberté. Ces mois de vagabondage, déterminants dans sa vie, feront de lui un fervent militant socialiste.

« Étendu sur le sable, je prêtais l’oreille aux conversations de ces nomades, qui me faisaient considérer comme bien mesquins mes exploits de pilleurs d’huîtres. À chacune de leurs paroles, un nouveau monde s’ouvrait devant moi, un monde d’essieux, de wagons à bagages, de policiers… Tout cela s’appelait l’aventure. Parfait ! Je tâterais, moi aussi, de cette vie-là.»

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